Devenir sophrologue, que faut-il savoir ?

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La sophrologie est une méthode de bien-être psychocorporelle. Elle utilise un ensemble de techniques qui agit sur le physique et le mental. Elle donne de la sérénité au patient/client et lui permet de s’épanouir. Ainsi, ce procédé offre au sophrologue la possibilité d’aider un individu à exploiter tout son potentiel. Néanmoins, l’exercice de ce métier nécessite une connaissance de ces pratiques, une formation est dès lors primordiale.

Les prérequis pour être sophrologue

Le sophrologue est un métier en voie d’expansion. Aucun titre RNCP n’est exigé pour l’exercice de cette profession. Cependant, sa pratique nécessite une connaissance dans ce domaine ainsi que des techniques qui y sont utilisés. Par ailleurs, une formation permet de jouir d’une légitimité professionnelle qui est indispensable pour l’apprenant.

Apprendre la sophrologie auprès d’un pratiquant ou au sein d’un établissement spécialisé permet l’acquisition des compétences nécessaires pour l’exercice de ce métier. Cet apprentissage allie la théorie et la pratique pour que l’étudiant puisse bénéficier des conseils de son formateur et accroître son expérience professionnelle.

Le processus de formation pour devenir sophrologue

Tout individu qui souhaite se reconvertir dans la sophrologie ou exercer ce métier peut suivre une formation qui permet d’accéder à un certificat de l’école ou à une certification professionnelle. En effet, pour obtenir une légitimité professionnelle, un examen est nécessaire. Il est sanctionné par l’évaluation de l’école au sens large, . Ce processus de validation est réalisé en fonction des critères établis par l’école.  Un titre de niveau 5 du Répertoire National de la Certification Professionnelle (RNCP) peut être également passé,  une certification effectuée à la suite d’une formation professionnelle permet d’accéder à ce titre. Ce processus de certification est réalisé en fonction des critères établis par le certificateur.

Les aptitudes nécessaires pour être un bon sophrologue

Se spécialiser en sophrologie implique différents critères, l’aptitude à exercer en fait partie. L’envie d’aider les autres est la base de ce métier. Le professionnel doit être à l’écoute de ses patients/clients, il doit également être bienveillant et déterminé afin de contribuer à leur épanouissement.

Le métier exige d’être respectueux, d’avoir un esprit de synthèse et de logique pour comprendre les autres. Le sophrologue doit garder la confidentialité des séances, il ne doit pas laisser son point de vue troubler les consultations. Il est à noter que cette profession ne remplace pas un suivi médical. Elle veille uniquement à accompagner et à aider les patients/clients . En outre, d’autres aptitudes professionnelles, comme la notion de communication sont nécessaires pour ce métier. En effet, le sophrologue peut être amené à prospecter des clients dans le cas où il aurait un cabinet privé.

Comment choisir son école ?

Différentes structures, établissement ou professionnel, proposent de se former à la sophrologie. Quelques critères doivent être pris en compte afin d’obtenir le meilleur apprentissage. Le nombre de formateurs et leurs titres ou le nombre de stagiaires formés permettent d’analyser la renommée ainsi que l’approche professionnelle prodiguée par un établissement. L’éthique et le mode d’enseignement permettent également de savoir si l’entité convient au projet professionnel de l’étudiant.

En outre, l’établissement devrait avoir un programme précis, car les matières enseignées nécessitent du temps. Autrement dit, une formation avec un programme clair et détaillé est de mise. Le futur sophrologue choisit souvent son école ou son formateur en fonction de l’entente qui règne entre les individus. Dans cette optique, il opte pour la formation qui convient à ses valeurs et son objectif professionnel.